"Aujourd'hui (...) on découvre que la prétendue prospérité n'était qu'un mince voile qui cachait des monceaux de pauvreté et de dénuement, que la présumée stabilité n'était qu'un ordre de plomb imposé à un peuple bâillonné, que la supposée liberté des femmes n'était que le fait de certaines privilégiées, que la richesse affichée à grand renfort cachait des misères sordides, que les minces libertés n'étaient qu'un feu de paille qui tentait d'occulter des nuits d'oppression sans vergogne."
Amor Cherni, "La révolution tunisienne, s'emparer de l'histoire..." Éditions Albouraq, 2011.
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